Genèse du projet et débat public
1990
Premier tracé pour le « TGV Languedoc-Roussillon » : ancêtre de la LNMP
2000
Projet de ligne nouvelle qualifié d’Intérêt Général
2009
Débat public et décision de poursuivre le projet
L'étape en détail
Résultats du débat public
Le 26 novembre 2009, à la suite du débat, SNCF Réseau décide de :
• poursuivre les études relatives à la Ligne nouvelle Montpellier-Perpignan sous l’égide d’un comité de pilotage associant notamment l’État et les collectivités territoriales participant au financement de ces études ;
• retenir un couloir de passage large d’environ 5 km, dit « plaine littorale » entre Montpellier et Narbonne, et « Corbières littorales » entre Narbonne et Perpignan ;
• étudier un projet apte à la grande vitesse entre Montpellier et Perpignan ;
• étudier un projet en capacité d’accueillir des circulations mixtes de Montpellier à Perpignan sur les sections les plus circulées ;
Débat public
En 2008, la Commission Nationale du Débat Public (CNDP) est saisie par SNCF Réseau.
Le débat public sur LNMP se tient de mars à juillet 2009. Il permet de présenter pour la première fois le projet au territoire et invite le public à s’exprimer sur 4 scénarios contrastés. 3 d’entre eux impliquant la réalisation d’une ligne nouvelle, et le dernier un aménagement lourd de la ligne existante. et porte sur un couloir de passage de 5 km de large pour la ligne nouvelle.
Après un recensement et un classement des sensibilités environnementales, deux couloirs de passage de 5 km de large entre Montpellier et Narbonne (sur 5 étudiés), se rejoignant en un couloir unique entre Narbonne et Perpignan (sur 2 étudiés), étaient également proposés au débat.
Lancement des études
En 2006, les études préalables sont lancées à la demande du ministre des Transports afin de préparer le débat public sur le projet rebaptisé « Ligne Nouvelle Montpellier Perpignan ».
Première proposition de tracé
En 1990, une première proposition de tracé pour rejoindre la frontière espagnole est esquissée. Le projet s’appelle alors « TGV Languedoc-Roussilon ». Malgré un premier ajournement en 1996 suite à la publication du rapport « Rouvilois », le caractère d’intérêt général du projet de ligne nouvelle est confirmé en 2000.
Résultats du débat public
Le 26 novembre 2009, à la suite du débat, SNCF Réseau décide de :
• poursuivre les études relatives à la Ligne nouvelle Montpellier-Perpignan sous l’égide d’un comité de pilotage associant notamment l’État et les collectivités territoriales participant au financement de ces études ;
• retenir un couloir de passage large d’environ 5 km, dit « plaine littorale » entre Montpellier et Narbonne, et « Corbières littorales » entre Narbonne et Perpignan ;
• étudier un projet apte à la grande vitesse entre Montpellier et Perpignan ;
• étudier un projet en capacité d’accueillir des circulations mixtes de Montpellier à Perpignan sur les sections les plus circulées ;
Débat public
En 2008, la Commission Nationale du Débat Public (CNDP) est saisie par SNCF Réseau.
Le débat public sur LNMP se tient de mars à juillet 2009. Il permet de présenter pour la première fois le projet au territoire et invite le public à s’exprimer sur 4 scénarios contrastés. 3 d’entre eux impliquant la réalisation d’une ligne nouvelle, et le dernier un aménagement lourd de la ligne existante. et porte sur un couloir de passage de 5 km de large pour la ligne nouvelle.
Après un recensement et un classement des sensibilités environnementales, deux couloirs de passage de 5 km de large entre Montpellier et Narbonne (sur 5 étudiés), se rejoignant en un couloir unique entre Narbonne et Perpignan (sur 2 étudiés), étaient également proposés au débat.
Lancement des études
En 2006, les études préalables sont lancées à la demande du ministre des Transports afin de préparer le débat public sur le projet rebaptisé « Ligne Nouvelle Montpellier Perpignan ».
Première proposition de tracé
En 1990, une première proposition de tracé pour rejoindre la frontière espagnole est esquissée. Le projet s’appelle alors « TGV Languedoc-Roussilon ». Malgré un premier ajournement en 1996 suite à la publication du rapport « Rouvilois », le caractère d’intérêt général du projet de ligne nouvelle est confirmé en 2000.